Post-revolutionary France tried to stamp it out, but working class communities kept speaking it. Now Occitan powers a vivacious and political European music scene
Après sur la question de la langue nationale pour se comprendre en cas de guerre (et même en temps de paix), il n’y a pas de soucis, tous les Catalans parlent castillan, c’est juste que pour eux c’est une langue secondaire.
Si on change d’échelle, c’est comme vouloir que tous les Européens parlent anglais comme langue de travail et d’échange interpays, mais continuent à parler leurs langues locales pour la vie quotidienne et la culture.
De plus souvent les langues nationales et les langues régionales sont assez proches, l’effort pour maîtriser les deux est assez faibles (bon, le basque fait un peu exception ha ha)
Après sur la question de la langue nationale pour se comprendre en cas de guerre (et même en temps de paix), il n’y a pas de soucis, tous les Catalans parlent castillan, c’est juste que pour eux c’est une langue secondaire.
Si on change d’échelle, c’est comme vouloir que tous les Européens parlent anglais comme langue de travail et d’échange interpays, mais continuent à parler leurs langues locales pour la vie quotidienne et la culture.
De plus souvent les langues nationales et les langues régionales sont assez proches, l’effort pour maîtriser les deux est assez faibles (bon, le basque fait un peu exception ha ha)