Oui et à chaque fois je me fais avoir et me remue le couteau dans la plaie. C’était violent, j’aimerai bien engager un detective pour comprendre d’où iels viennent.
Les commentaires du Figaro regroupent deux grandes critères : les lecteurs du Figaro et ceux qui n’ont rien d’autre à foutre que de commenter sur un journal en ligne. Donc là, tu prends la crème de la crème.
@yopla@leftascenter c’est pas pareil, on est plus posé, mure et clairvoyant /s
À tout moment on peut tomber dans le panneau et tendre vers un point puis un autre et rejoindre le lectorat du figaro.
C’est ce que m’a appris l’expérience en autogestion dans les collectifs.
Je croyais que tout était fixe et que les rôles étaient prédeterminés. En fait pas vraiment, c’est une vigilance quotidienne pour moduler les pouvoir et role et trouver une balance.
Oui, mais on échange. Les coms d’un journal c’est déjà plus vase clos dans un lectorat, et c’est vachement moins interactif. Et probablement pas mal plus de bots qu’ici, mine de rien 3/4 abos et tu peux bien troller les commentaires d’u’ journal.
Hé bé, merci…je sais pas si c’est une bonne idée l’implant cochléaire finalement…
La seule fois où j’ai entendu ça ct avec un insoumis qui en avait marre de la situation et me disait envisager voter RN pour foutre le boxon. J’ai fais les yeux ronds…
Les chroniques de Guillaume Meurice sont l’occasion se constater que les gens derrière ces commentaires sont réels, et se baladent parfois sur les marchés de Paris 16e
C’est ça de vivre dans le silence. Pour ma part, j’ai toujours eu l’impression que les réseaux sociaux étaient plus nerveux et qu’on dit des choses qu’on ne dirait pas irl avec plus de nuances. Et je constate réellement cette différence. Pe pas tant que ça en fait…
Les gens sont peut être plus à l’aise pour partager leur pensées avec un inconnu sur Internet, qu’avec un inconnu en face d’eux, ou qu’avec collègue/connaissance qui les connaît et vas les juger.
En tout vas Guillaume Meurice a du talent pour mettre les gens à l’aise.
Oui, mais j’ai aussi l’impression qu’il y a des informations qui passent : timbre voix, visage-signal, geste, regard et aussi qu’en connaissant les gens on est plus modéré sur nos prises de paroles.
Sur internet tout est parcellaire et sitot on peut etre jugé sur des élément. Ya ça que je remarque.
Bref je verrais bien à quel point c’est différent internet/irl, une fois l’implant cochléaire. Je vais pouvoir comparer les 2 mondes.
Surement, en tout cas, je vois pas une personne mal à l’aise s’exprimer à la radio. C’est rarement le profil recherché. Si l’un est mal à l’aise, iel mettra mal à l’aise tout le monde. T’imagines “salut…heu…je suis pas super à l’aise, délolé…” 😅
C’est une spécialité du Figaro. Il ne faut pas lire les commentaires sans une préparation mentale.
Oui et à chaque fois je me fais avoir et me remue le couteau dans la plaie. C’était violent, j’aimerai bien engager un detective pour comprendre d’où iels viennent.
Les commentaires du Figaro regroupent deux grandes critères : les lecteurs du Figaro et ceux qui n’ont rien d’autre à foutre que de commenter sur un journal en ligne. Donc là, tu prends la crème de la crème.
Comme ça ?
Prends ton haut vote :-)
Ma tarte tu veux dire :')
Tu veux pas un haut vote d’abord?
Si :3
Ouais enfin, on est quand même là aussi pour commenter des articles :D
@yopla @leftascenter c’est pas pareil, on est plus posé, mure et clairvoyant /s
À tout moment on peut tomber dans le panneau et tendre vers un point puis un autre et rejoindre le lectorat du figaro.
C’est ce que m’a appris l’expérience en autogestion dans les collectifs.
Je croyais que tout était fixe et que les rôles étaient prédeterminés. En fait pas vraiment, c’est une vigilance quotidienne pour moduler les pouvoir et role et trouver une balance.
L’autogestion n’existe pas.
Oui, mais on échange. Les coms d’un journal c’est déjà plus vase clos dans un lectorat, et c’est vachement moins interactif. Et probablement pas mal plus de bots qu’ici, mine de rien 3/4 abos et tu peux bien troller les commentaires d’u’ journal.
Des gens frustrés, des trolls qui rôle playent, …
J’ai tjrs du mal à y croire. Ya une dissonnance entre irl et les réseaux sociaux ?
Tu n’évolues pas dans les bons cercles.
J’ai fait 18 réveillons avec des gens comme ça, je te garantie que les commentaires du Figaro sont aussi prononcé à voix haute.
Hé bé, merci…je sais pas si c’est une bonne idée l’implant cochléaire finalement…
La seule fois où j’ai entendu ça ct avec un insoumis qui en avait marre de la situation et me disait envisager voter RN pour foutre le boxon. J’ai fais les yeux ronds…
Hahaha. J’imagine la scène.
“Mr snoopy, pour votre rééducation orthophonique vous allez devoir écouter cnews en boucle pendant 6 mois.”.
Finalement vivre loin de tout ça est un bon début. 😔
Les chroniques de Guillaume Meurice sont l’occasion se constater que les gens derrière ces commentaires sont réels, et se baladent parfois sur les marchés de Paris 16e
C’est ça de vivre dans le silence. Pour ma part, j’ai toujours eu l’impression que les réseaux sociaux étaient plus nerveux et qu’on dit des choses qu’on ne dirait pas irl avec plus de nuances. Et je constate réellement cette différence. Pe pas tant que ça en fait…
Les gens sont peut être plus à l’aise pour partager leur pensées avec un inconnu sur Internet, qu’avec un inconnu en face d’eux, ou qu’avec collègue/connaissance qui les connaît et vas les juger.
En tout vas Guillaume Meurice a du talent pour mettre les gens à l’aise.
Oui, mais j’ai aussi l’impression qu’il y a des informations qui passent : timbre voix, visage-signal, geste, regard et aussi qu’en connaissant les gens on est plus modéré sur nos prises de paroles.
Sur internet tout est parcellaire et sitot on peut etre jugé sur des élément. Ya ça que je remarque.
Bref je verrais bien à quel point c’est différent internet/irl, une fois l’implant cochléaire. Je vais pouvoir comparer les 2 mondes.
Surement, en tout cas, je vois pas une personne mal à l’aise s’exprimer à la radio. C’est rarement le profil recherché. Si l’un est mal à l’aise, iel mettra mal à l’aise tout le monde. T’imagines “salut…heu…je suis pas super à l’aise, délolé…” 😅