Dans un rapport publié mardi, Générations futures interroge le corpus scientifique sur lequel se fondent les agences réglementaires européennes d’une part, et l’Inserm d’autre part, pour expertiser les effets de l’herbicide sur la santé.
Merci. C’est une stratégie observé depuis un moment que les industrielles noient les études scientifiques sérieuses sous les leurs. Plusieurs scandales ont éclaté les dernières décennies, car les organismes de agences de régulations suivaient les études scientifiques en partant du principe qu’elles étaient sérieuses.
Maintenant ils les sélectionnent, et c’est une très bonne chose.
Merci. C’est une stratégie observé depuis un moment que les industrielles noient les études scientifiques sérieuses sous les leurs. Plusieurs scandales ont éclaté les dernières décennies, car les organismes de agences de régulations suivaient les études scientifiques en partant du principe qu’elles étaient sérieuses.
Maintenant ils les sélectionnent, et c’est une très bonne chose.
Enfin si les seules études sélectionnées c’est celles des industriels c’est pas forcément une si bonne chose
Le but est de ne sélectionner que des études jugées fiables.