Entendu parler ce de y’a genre 4-5 ans. Plus tôt que la majorité car dans le bureau de l’association de patient. Ensuite y’a encore eut le temps entre “y’a ptet un truc là” et “yep, y’a bien un truc”.
Y’a la grosse question de “quelle alternative”. Dans mon cas je suis passée à la progestérone. Maintenant mon corps semble s’y être adapté, ça va mieux.
Si c’est genre souffrir le martyr tout les mois à cause d’une endometriose ou un risque plus élevé de méningiome le choix peut ce poser différemment.
Mais comme si ils en avaient quelque chose à faire des handicapés ou des pauvres.