À quand un Nutri-Score à l'échelle européenne ? Les négociations sont toujours au point mort, mais une nouvelle étude démontre pourtant l'efficacité du label français.
Même si c’est sous une forme très lisible (la plupart du temps, parce que parfois ce n’est pas sous forme de tableau), cela reste moins attirant pour l’œil que ce qu’il y a sur le reste du paquet. De plus le nutriscore ne permet pas d’évaluer ce qui se passe quand on associe différent produit ensemble.
La face qui sera visible en rayon, c’est pas le côté où il y a les informations nutritionnelles. Ça met déjà une première barrière à la consultation des informations.
Les informations les plus attirantes sont l’appétissant bol de lait et de céréales, la marque, le fait que c’est un grand format, le slogan et une information en vert sur le blé. Le reste en comparaison c’est tout petit.
Le nutriscore semble être A alors que pourtant, le produit n’est pas recommandable d’un point de vue nutritif à part si c’est juste en petite quantité pour le plaisir (environ 20% de sucres ajouté).
Même si c’est sous une forme très lisible (la plupart du temps, parce que parfois ce n’est pas sous forme de tableau), cela reste moins attirant pour l’œil que ce qu’il y a sur le reste du paquet. De plus le nutriscore ne permet pas d’évaluer ce qui se passe quand on associe différent produit ensemble.
Prenons l’exemple des céréales Chocapic