• Xia@lemmy.world
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    1 year ago

    L’histoire de la France et de l’Espagne a beaucoup joué aussi, la troisième république déjà mais également la première et seconde guerre mondiale ont fait quil n’y avait pas la place pour plusieurs langues.

    Le contraste que je vois c’est aussi une fragmentation politique énorme entre la Catalogne et Madrid la où en France c’est moins présent mais encore une fois on peut l’expliquer par l’existence de Paris qui a empêché le développement des grandes villes françaises. Le seul exemple d’une langue forte en dehors du français en France c’est le corse et on voit la résultât alors que le sentiment indépendantiste était inexistant après la WWII.

    (Avis sorti de mon cul, je suis pas expert tranquille)

    • Camus (il, lui)@jlai.luOP
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      1 year ago

      Après sur la question de la langue nationale pour se comprendre en cas de guerre (et même en temps de paix), il n’y a pas de soucis, tous les Catalans parlent castillan, c’est juste que pour eux c’est une langue secondaire.

      Si on change d’échelle, c’est comme vouloir que tous les Européens parlent anglais comme langue de travail et d’échange interpays, mais continuent à parler leurs langues locales pour la vie quotidienne et la culture.

      De plus souvent les langues nationales et les langues régionales sont assez proches, l’effort pour maîtriser les deux est assez faibles (bon, le basque fait un peu exception ha ha)

    • ecureuil_furtif@sh.itjust.works
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      Français
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      1 year ago

      On vit la même situation en Écosse où le gaélique a été presque totalement remplacé par l’anglais. On voit des panneaux bilingues partout comme effort pour faire renaître la langue, mais il faut protéger tout patrimoine avant qu’il ne disparaisse.