Prendre l'avion quatre fois dans sa vie pour réduire la pollution liée à sa mobilité. La proposition de Jean-Marc Jancovici, entendue en mai dernier au micro de France Inter, n'a pas manqué de faire réagir. Mais qu'en...
Moins prendre l’avion c’est bien, d’autant plus que les aéroports sont des enfers sur terre, mais pas en forçant des limites arbitraires sur les populations. C’est une pente glissante.
C’est les entreprises qu’il faut condamner. Sans offre pas de demande. Si tu n’as pas de vol Lyon-Barcelone à 20 balles tu n’iras pas passer le week-end là bas.
Et si tu as des alternatives viables et efficaces, tu tue l’avion (voir comment Trenitalia et Italo ont coulés Alitalia).
Si l’objectif est louable, interdire de vol c’est prendre le problème par le mauvais bout, d’autant plus que c’est ces mêmes gouvernements qui subventionnent l’aérien au détriment du train et qui ensuite viennent te faire la morale. Qu’ils aillent sucer des clous rouillés.
D’un point de vue contraire on peut voir les quotas sur ce genre de sujet comme quelque chose de démocratique et équitable.
Justement imposer un quoata à tous, riche ou pauvre, tous ont le même droit de prendre l’avion sur une vie.
Au contraire si aucun quota n’est imposé, et qu’on taxe (enfin :)) l’avion correctement. Qu’on impose une chute des nombres de vols par le prix seulement, alors les pauvres feront tout le sacrifice, les riches continueront, et on a pas un superbe contexte social dans cette situation.
Évidemment c’est valide seulement si ça s’applie à tous vols, jets privés compris.
Après ces deux outils, taxe et quotas, peuvent faire parti de la solution et ne s’opposent pas forcément.
Mouais, c’est une mauvaise idée.
Moins prendre l’avion c’est bien, d’autant plus que les aéroports sont des enfers sur terre, mais pas en forçant des limites arbitraires sur les populations. C’est une pente glissante.
C’est les entreprises qu’il faut condamner. Sans offre pas de demande. Si tu n’as pas de vol Lyon-Barcelone à 20 balles tu n’iras pas passer le week-end là bas. Et si tu as des alternatives viables et efficaces, tu tue l’avion (voir comment Trenitalia et Italo ont coulés Alitalia).
Si l’objectif est louable, interdire de vol c’est prendre le problème par le mauvais bout, d’autant plus que c’est ces mêmes gouvernements qui subventionnent l’aérien au détriment du train et qui ensuite viennent te faire la morale. Qu’ils aillent sucer des clous rouillés.
D’un point de vue contraire on peut voir les quotas sur ce genre de sujet comme quelque chose de démocratique et équitable.
Justement imposer un quoata à tous, riche ou pauvre, tous ont le même droit de prendre l’avion sur une vie.
Au contraire si aucun quota n’est imposé, et qu’on taxe (enfin :)) l’avion correctement. Qu’on impose une chute des nombres de vols par le prix seulement, alors les pauvres feront tout le sacrifice, les riches continueront, et on a pas un superbe contexte social dans cette situation.
Évidemment c’est valide seulement si ça s’applie à tous vols, jets privés compris.
Après ces deux outils, taxe et quotas, peuvent faire parti de la solution et ne s’opposent pas forcément.