Les auteurs de la loi, qui concerne les communications officielles en France, estiment que l'usage du point médian est "un obstacle à la compréhension et à la facilité de lecture".
Je comprend que ça soit déroutant au début, mais c’est uniquement une question d’apprentissage, de vocabulaire.
Une fois que tu as croisé 2-3 fois ces mots là ils s’intègrent dans le flux normal de la lecture et de l’utilisation, et ça fonctionne bien, sans autre changement d’usage.
On s’y fait nous, oui, mais ça sera toujours une difficulté supplémentaire pour une partie de la population avec des difficultés de lecture. Je trouve tout de même que le point médian s’est imposé comme synonyme de l’écriture inclusive dans beaucoup de débats alors que d’autres solutions inclusives, comme la double flexion avec l’accord de proximité, permettent de conserver la lisibilité et le lien avec l’oral.
Personnellement je détesterais voir ça dans un texte. Je n’y comprendrais pas grand chose.
Je comprend que ça soit déroutant au début, mais c’est uniquement une question d’apprentissage, de vocabulaire.
Une fois que tu as croisé 2-3 fois ces mots là ils s’intègrent dans le flux normal de la lecture et de l’utilisation, et ça fonctionne bien, sans autre changement d’usage.
Franchement, on s’y fait. J’étais un peu réticent au début, mais maintenant c’est presque devenu naturel.
On s’y fait nous, oui, mais ça sera toujours une difficulté supplémentaire pour une partie de la population avec des difficultés de lecture. Je trouve tout de même que le point médian s’est imposé comme synonyme de l’écriture inclusive dans beaucoup de débats alors que d’autres solutions inclusives, comme la double flexion avec l’accord de proximité, permettent de conserver la lisibilité et le lien avec l’oral.
pareil pour moi, si je vois “iel est heureuxe” je ne comprends pas tout, j’imagine un article ou un livre écrit comme ça, impossible d’accrocher.